Marie-Stéphane Bernard


La Périchole de J. Offenbach
Opéra Comique, Paris

...les airs connus finement interprétés par Marie-Stéphane Bernard, séduisante Périchole à la voix d'or.

Le Journal du Dimanche
Annie Chénieux, Nov. 12, 2007
Goya de J. Prodromidès, World Premiere, Creation
Opéra de Montpellier

Le jeune Marie-Stéphane Bernard fascine dans son inteprétation de la Duchesse d'Albe en amoureuse libre.

Die Welt, July 7, 1996
La Veuve Joyeuse de F. Lehàr
Opéra Comique, Paris

Pour incarner Missia, une véritable révélation, Marie-Stéphane Bernard proche de l'idéal. Un physique de star, un peu « année cinquante », rousse, glamour, mais pas vulgaire pour un sou, en un mot, « vamp »… Une voix claire, précise, bien projetée, parfaitement placée avec de l'abattage et du chic, de l'humour, de la tendresse, sans grandiloquence ni effets appuyés. En un mot : « juste », frivole un peu, charmeuse, beaucoup, mais sans emphase et avec une aisance scénique époustouflante, un aplomb et un « métier » consommé. D'après sa biographie, elle chante régulièrement Mozart en Autriche, ce qui est un atout non négligeable. Le public lui fera un véritable triomphe, qu'elle mérite amplement.

Altamusica.com
Juliette Buch, Feb. 2, 2006
La Mascotte de E. Audran
Opéra de Montpellier

Jérome Savary fait du rôle de Fiametta un être « allumé » qui trouve en Marie-Stéphane Bernard son interprète idéale, à la voix généreuse percutante et colorée.

Opérette
T. Roumilac, Jan. 15, 1999

La Prove Di Un Opera Seria by F. Gnecco
Teatro dell'Opera di Roma, Italie
... La soprano Marie-Stéphane Bernard interprétait le premier rôle : Corilla avec une belle voix, une bonne technique et une belle musicalité. Excellente actrice, elle se comportait sur scène sans excés mais comme une vraie Prima Donna capricieuse.

La Repubblica
Landa Ketoff, Apr. 1, 1999
La Veuve Joyeuse de F. Lehàr
Opéra Comique, Paris

… gageons que face à la pétulante Veuve « made in USA » de Marie-Stéphane Bernard, la classe et le charme incarnés, sera l'une des révélations de ces soirées. Savary a toujours ses fidèles. Le public adore et le fait savoir bruyamment.

Les Echos
Michel Parouty, Oct. 22, 2005
La Veuve Joyeuse de F. Lehàr
Opéra Comique, Paris

… autour de la flamboyante Marie-Stéphane Bernard qui campe une rousse Missia d'enfer, se dessine un cancan éblouissant.

Midi Libre
Henry-Jean Servat, Nov. 26, 2005
Ariadne auf Naxos de R.Strauss
Opéra de Nice, France

Décernons d'emblée une mention très bien au trio des naïades spécialement à Marie-Stéphane Bernard en merveilleuse Echo.

Scene Magazine
Christian Colombeau, May 4, 2004
Goya de J. Prodromidès, World Premiere, Creation
Opéra de Montpellier

La distribution est dominée par l'excellente Marie-Stéphane Bernard.

Le Monde du la Musique
Gérard Mannoni, Aug. 7, 1996
Goya de J. Prodromidès, World Premiere, Creation
Opéra de Montpellier

La ravissante Marie-Stéphane Bernard est une très sensuelle Duchesse d'Albe, et affronte sans risque une tessiture aigüe extrêmement tendue…

La Provence
Michel Alexandre, June 4, 1996
Goya de J. Prodromidès, World Premiere, Creation
Opéra de Montpellier

… Le timbre capiteux de Marie-Stéphane Bernard…

Le Midi Libre
Gérard Loury, June 2, 1996
Goya de J. Prodromidès, World Premiere, Creation
Opéra de Montpellier

La convainquante Duchesse d'Albe, Marie-Stéphane Bernard.

Opera News
Joel Kasov, Nov., 1996

Symphonie No. 14 de Chostakovitch

Marie-Stéphane Bernard a révélé une présence formidable. Cette artiste complète, réfléchie honorerait nos opéras.

Critique CD
Jean Vermeil

La Pays du Sourire de Lehàr
Capitole de Toulouse
Marie-Stéphane Bernard a la présence rayonnante qu'on attend du rôle de Lisa.

Le Midi Libre
R.L. Nov. 28, 1997

P – E PROUVOST D’AGOSTINO
Elle est artiste. C’est pourquoi son âme ressemble à celle de ces instruments de musique » Niklausse à Hoffmann, dans l’Opéra d’Offenbach, Acte II Rien de plus innocent que les incendiaires. Ils sont toujours capables de ravager le monde et de nous consumer le cœur, avec la plus exquise bonne foi, la plus sublime probité. Marie-Stéphane Bernard n’a pas la bêtise mégalomane d’Erostrate, qui ne trouvait rien de mieux, désirant passer à la postérité, que de détruire par le feu l’une des Merveilles du monde. C’est en connaissance de cause qu’elle enflamme son public, en brûlant elle-même de toute sa passion intérieure. Elle connaît les conséquences, a pesé les risques, a mesuré le défi. L’éclat fauve de sa chevelure la dénonce : elle est de ces êtres qui flambent comme des âtres, et qui changent la scène et le manteau d’arlequin en bûcher de splendeurs dont le pourpre reflet nous éclabousse. Il ne s’agit pas de chanter pendant l’incendie de Rome. Pour l’artiste authentique, il s’agit d’être à la fois le chant et l’incendie.